Les indices boursiers mondiaux généraux1 se sont appréciés au troisième trimestre, les marchés ayant anticipé le changement de politique de la Réserve fédérale américaine (la « Fed »), amorcé par une réduction de 50 points de base (pdb)2 en septembre, et y ayant réagi. Alors que les analystes s’attendent à un atterrissage en douceur, ARK prévoit toujours que la perte de leur pouvoir de fixation des prix forcera les sociétés à effectuer des suppressions d’emplois qui perpétueront la récession tournante3 qui a commencé au printemps 2022, lorsque la Fed s’est mise à multiplier par 22 les taux d’intérêt en un peu plus d’un an. Face à cette situation, les secteurs de l’habitation, de l’automobile, de l’immobilier commercial et des dépenses en immobilisations ont capitulé, alors que les stocks continuent de s’accumuler et que l’optimisme des petites entreprises, mesuré par la National Federation of Independent Business (NIFB), a frôlé des creux inégalés depuis la crise financière mondiale de 2008-2009. À notre avis, les cinq plateformes d’innovation4 autour desquelles ARK a concentré ses recherches et ses placements pourraient jouer un rôle démesuré pour sortir l’économie de cette récession tournante, en sauvant les marges des sociétés, à mesure que l’inflation cédera la place à la déflation dans de nombreux secteurs au cours des prochaines années.
Le rapport sur l’emploi, qui signalait une récession en juillet, a déclenché la règle de Sahm5, car la moyenne mobile sur trois mois du taux de chômage américain a dépassé de 50 pdb son point le plus bas des 12 derniers mois, ce qui indique historiquement que l’économie est en récession depuis trois mois. Soulignant la faiblesse du marché du travail, le Bureau of Labor Statistics des États-Unis a réduit de 818 000 son estimation de l’emploi pour la période de 12 mois close en mars 2024, soit la plus importante révision à la baisse depuis 2009, faisant passer la croissance moyenne des emplois par mois de 242 000 à 174 000. De plus, après une flambée durant la « grande démission » qui a suivi la pandémie de COVID-19, les taux de démission se sont fortement inversés, ce qui a fait passer de 16 % à 7 % la croissance des salaires sur 12 mois pour les personnes qui ont changé d’emploi.
Les recherches d’ARK montrent que l’économie a connu des récessions tournantes. Les indicateurs suivants appuient ce point de vue :
- Le secteur de l’automobile a fait face à d’importants défis pendant la pandémie de COVID-19 et, même si les ventes ont connu une reprise en V en 2021, les ventes annualisées actuelles sont de l’ordre de 15,8 millions d’unités6, ce qui est bien en deçà des 17 à 18 millions d’unités d’avant la pandémie. Au début de celle-ci, l’automobile représentait environ le tiers de la flambée de l’inflation. Les prix des voitures d’occasion ont maintenant reculé de 5 % sur 12 mois et sont inférieurs de 21 % aux prix records7.
- Les données sur l’habitation, comme les prix médians, les mises en chantier et l’abordabilité, envoient également des signaux inquiétants. Avec 3,9 millions d’unités, le nombre de ventes de maisons existantes n’est pas loin des niveaux atteints pendant la crise mondiale de l’habitation8. En même temps, le nombre historiquement élevé de logements actuellement en construction donne à penser que les loyers feront passer l’inflation en territoire beaucoup moins élevé que prévu l’année prochaine.
- De nombreux indicateurs mondiaux de tendances des sociétés ont corroboré la faiblesse de l’activité économique en signalant des baisses de revenus d’une année à l’autre aux derniers trimestres. Notamment, par rapport aux comparaisons « faciles » d’il y a un an, les baisses de revenus de 3M (-0,4 %), d’UPS (-1,1 %), de Dow (-4,4 %), de Thermo Fisher (-1,4 %), de Texas Instruments (-15,6 %) et de FedEx (-0,5 %) et ont surpris en étant inférieurs aux attentes. D’autres indicateurs comme Kraft-Heinz (-3,6 %), Cisco (-10,3 %), Caterpillar (-3,6 %) et Procter & Gamble (-0,1 %) ont également déclaré des baisses de revenus sur 12 mois, ce qui souligne la faiblesse généralisée de l’activité économique.
- Après avoir stimulé la rentabilité grâce à la hausse des prix pendant les goulots d’étranglement liés à la chaîne d’approvisionnement en 2021-2022, et de nouveau lorsque la croissance par unité a déçu en 2023, les sociétés semblent maintenant perdre leur pouvoir de fixation des prix, au détriment des marges bénéficiaires. Déjà, des entreprises comme Amazon, Nike, Starbucks et McDonald’s ont lancé des campagnes de remises pour reconquérir les consommateurs. Selon Bloomberg, la marge bénéficiaire brute de l’indice S&P 500 est passée de 34,5 % en moyenne au cours des cinq dernières années à 33,4 %, au troisième trimestre de 2024. À notre avis, ce recul s’intensifiera jusqu’à ce que la Fed réduise fortement les taux d’intérêt ou que les sociétés exploitent énergiquement l’innovation comme l’intelligence artificielle, non seulement pour stimuler la croissance de la productivité, mais aussi pour créer de nouveaux produits et services qui remplacent les anciennes solutions. Dans l’intervalle, afin de limiter les dommages causés aux marges, les sociétés qui ont retenu leurs employés pendant la pénurie de main-d’œuvre de l’après-COVID devraient les mettre à pied l’année prochaine, ce qui atténuera encore les inquiétudes de la Fed au sujet de l’inflation sous-jacente. Par conséquent, l’activité nominale pourrait reculer sous les récents points faibles associés à l’habitation, à l’automobile et à d’autres achats importants, ce qui entraînerait d’autres réductions de prix et une compression des marges.
- Selon les mesures de la NFIB, l’optimisme des petites entreprises est en territoire de récession, non seulement en deçà de ce qui était observé pendant la récession causée par la COVID-19 et la crise de l’épargne et des prêts, mais aussi à un niveau comparable à celui observé pendant la crise financière mondiale9. Les petites entreprises sont les principaux moteurs de la création d’emplois, de sorte que cette baisse de confiance indique que le marché de l’emploi est beaucoup plus faible que ne laissaient entendre les données.
- La croissance de la masse monétaire M210 est devenue négative sur 12 mois de décembre 2022 à mars 2024 et, à 2,0 %, elle demeure faible selon les normes historiques. Si la corrélation entre l’indice des prix à la consommation (IPC)11 et la croissance de la masse monétaire M2 sur 18 mois se maintient, l’IPC pourrait devenir négatif l’an prochain, comme il l’a fait en 2014, 2015 et 2020.
- Le ratio de l’indice des prix des métaux du Commodity Research Bureau (CRB) par rapport à l’indice des prix de l’or a chuté en deçà de ses creux enregistrés au cours de la crise financière mondiale de 2008-2009 et la crise de la COVID-19. Jusqu’à ce que la Fed commence à relever les taux en 2022, ce ratio a été étroitement corrélé aux taux d’intérêt à long terme. Si cette relation devait revenir à la normale, les taux d’intérêt pourraient s’effondrer, ou bien les prix des métaux pourraient augmenter considérablement, ou une combinaison des deux. Jusqu’à présent, les taux d’intérêt semblent rester stables.
- Les écarts de taux des obligations à rendement élevé actuels12 sont remarquablement étroits par rapport aux moyennes à long terme, ce qui indique que les marchés du crédit ne perçoivent pas de risques de crédit ou de déflation. Peut-être que l’abondance de liquidités fait la chasse au rendement et cause une distorsion de ces écarts, masquant les risques sous-jacents qui seraient plus apparents autrement.
Alors que la Fed cherchait à étouffer l’inflation avec des taux d’intérêt élevés, le marché obligataire envoyait un signal que des difficultés sont à venir. De mars 2021 à juillet 2023, la courbe des taux13 s’est inversée, passant de +159 points de base à -108 points de base14, l’inversion la plus forte depuis le début des années 1980, lorsque la Fed luttait contre une inflation à deux chiffres. Depuis juillet 2023, la courbe des taux est entrée dans une phase de réaccentuation à la baisse, les taux à long terme augmentant par rapport aux taux à court terme, ce qui a éliminé l’inversion tout en donnant à penser que les attentes quant à la croissance réelle et à l’inflation pourraient être déçues. La Réserve fédérale a commencé à augmenter son taux cible lorsque l’inflation de l’IPC sur 12 mois, un indicateur témoin économique, a atteint 8,5 % en mars 2022. Peu de temps après, les pressions géopolitiques et l’accumulation de stocks ont fait passer le taux d’inflation fondé sur l’IPC à 9,1 % sur 12 mois. Depuis, l’inflation mesurée par l’IPC a baissé à 2,5 %15, grâce à diverses forces déflationnistes (bonnes, mauvaises et cycliques).
Elle a suspendu ses mesures de resserrement l’été dernier. En même temps, dans le domaine des technologies, ChatGPT a commencé à attirer l’attention du public sur les percées en apparence miraculeuses qui feront probablement pencher la balance encore plus du côté de la déflation généralisée. Bien que la destruction créative – la transition des véhicules à essence aux véhicules électriques, par exemple – puisse masquer l’essor associé à l’IA et à d’autres technologies perturbatrices qui évoluent aujourd’hui, les vagues de croissance associées à la convergence des 14 technologies participant à nos cinq grandes plateformes (robotique, stockage d’énergie, intelligence artificielle, technologie de chaîne de blocs et le séquençage multiomique) devraient commencer à faire bouger les choses sur le plan macroéconomique de plus en plus et de façon significative au cours des cinq à dix prochaines années.
Par ailleurs, plus tôt cette année, le marché boursier a atteint un niveau de concentration record, ce qui a stimulé notre recherche d’une exposition diversifiée à la révolution de l’IA, en particulier parmi les applications logicielles qui, selon nos recherches, sont sous-représentées dans des indices de référence, mais susceptibles de stimuler la création de valeur sur notre horizon de placement. À notre avis, l’histoire montrera que l’inflation, initialement déclenchée par les chocs de l’offre, était temporaire et qu’elle s’est transformée en désinflation, puis en déflation. Par conséquent, il est probable que les taux d’intérêt surprennent en étant inférieurs aux attentes, ce qui élargira la remontée boursière au-delà d’un sous-ensemble restreint d’actions et renforcera la nécessité d’investissements diversifiés dans l’IA. ARK a raison de dire que les occasions de placement les plus importantes en intelligence artificielle sont associées à une « innovation perturbatrice », mais les gagnants et les perdants seront sans doute surprenants, ce qui donnera lieu à un ensemble plus diversifié de gagnants auquel la concentration actuelle des marchés boursiers devrait céder le pas.
BMO ARK Fonds Internet nouvelle génération, série FNB (ARKW)
Les placements ayant le plus contribué au rendement de la série FNB du BMO ARK Fonds Internet nouvelle génération (ARKW) ont été Tesla (TSLA) et Roku (ROKU).
L’action de Tesla a contribué au rendement après que la société a publié des résultats supérieurs aux attentes au deuxième trimestre en matière de livraisons de véhicules et de déploiements records de solutions de stockage d’énergie stationnaire. L’action a toutefois perdu une partie de ses gains après que la direction a reporté l’événement du robotaxi d’août à octobre et que la société n’a pas répondu aux attentes des analystes en matière de bénéfices pour le deuxième trimestre. Par ailleurs, l’équipe d’intelligence artificielle de Tesla a publié, pour les mises à jour de son logiciel de conduite entièrement autonome, sa feuille de route qui va de maintenant jusqu’au premier trimestre de 2025, et a atteint tous les jalons de septembre avant la fin du trimestre.
L’action de Roku a contribué au rendement au cours du trimestre, grâce aux solides bénéfices de la société enregistrés au deuxième trimestre. Roku a ajouté 2 millions de ménages nets à la diffusion en continu, ce qui porte son total à 83,6 millions, tandis que les heures de diffusion en continu ont bondi de 20 % sur 12 mois. En septembre, la société a lancé sa nouvelle plateforme Ads Manager, une solution de rendement en libre-service qui permet aux annonceurs de créer, de gérer et de mesurer leurs campagnes publicitaires en continu à la télévision directement sur la plateforme de Roku. Coinbase (COIN) et PagerDuty (PD) sont parmi les placements qui ont le plus nui au rendement. Coinbase a plombé les résultats ce trimestre, le volume de ses opérations sur les actifs numériques mondiaux ayant reculé d’environ 15 % d’un trimestre à l’autre. Outre la faiblesse de l’activité globale du marché, la Réserve fédérale a nui aux revenus d’intérêts que Coinbase tire des cryptomonnaies stables en décrétant une réduction de 50 pdb de son taux directeur et en signalant que d’autres réductions de taux sont à venir. L’action de PagerDuty Inc. a nui au rendement du Fonds au cours du trimestre, la direction ayant révisé à la baisse ses prévisions de revenus pour l’ensemble de l’année en prévision de cycles de vente plus longs associés à des contrats pluriannuels plus importants. Cela dit, la société est toujours sur la bonne voie pour atteindre sa cible de croissance des revenus annuels récurrents de 10 % d’ici la fin de l’année, grâce à l’adoption accrue de sa plateforme AIOps17 et de ses produits de service à la clientèle.
BMO ARK Fonds révolution génomique, série FNB (ARKG)
Les indices boursiers mondiaux généraux ont été surpassés au cours du trimestre. Les placements du BMO ARK Fonds révolution génomique, série FNB (ARKG) les plus performants ont été CareDx (CDNA) et Personalis (PSNL). L’action de CareDx a contribué au rendement ce trimestre, la société ayant enregistré une croissance de son chiffre d’affaires de 31 % sur 12 mois et ayant révisé, à mi-parcours, ses prévisions de revenus pour l’ensemble de l’année à la hausse de 17 %. La société a bénéficié d’un autre coup de pouce lorsque les Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS) ont annoncé leur intention de retirer une décision de couverture locale précédemment rédigée, qui aurait limité la couverture pour les tests de surveillance à base de sang en cas de rejet d’allogreffe. En raison de la suppression, en février 2024, des clauses restrictives dans l’article sur la facturation et à la suite des échanges avec CMS, la direction de CareDx a indiqué que la couverture de longue date de AlloSure®, AlloMap® et HeartCare® a été rétablie. L’action de Personalis a contribué au rendement ce trimestre, grâce à une série d’événements positifs. Premièrement, la société a publié ses bénéfices du deuxième trimestre, dont une croissance du chiffre d’affaires de 35 % sur 12 mois découlant de la demande croissante pour son produit de surveillance des maladies résiduelles minimales, NeXT Personnel, ainsi que d’une forte demande pour ses produits de profilage personnalisé des tumeurs dans le cadre d’un vaccin contre le cancer. La direction a également revu à la hausse ses prévisions de revenus pour l’année. Deuxièmement, Tempus AI a fait état d’une participation de 15,3 % dans Personalis et a commencé un partenariat élargi avec Tempus AI pour accélérer la commercialisation de tests de maladie résiduelle minimale (MRD) ultrasensibles et informés sur les tumeurs, sur la plateforme de Tempus AI. Tempus AI investira 36 millions de dollars dans Personalis et facilitera une utilisation accrue des tests pour les cancers du sein et du poumon ainsi que le suivi de l’immunothérapie pour toutes les tumeurs solides.
Moderna (MRNA) et CRISPR Therapeutics (CRSP) sont parmi les placements qui ont le plus nui au rendement. L’action de Moderna a mal servi les résultats ce trimestre après que la société a publié ses bénéfices pour le deuxième trimestre et revu à la baisse ses prévisions de ventes de produits sur 12 mois, qui sont passées de 4 milliards de dollars à 3,5 milliards de dollars, en raison de certains obstacles, notamment une hausse plus faible que prévue des ventes de son vaccin contre la COVID-19 dans l’Union européenne (UE), l’accroissement de la pression concurrentielle dans le domaine des vaccins respiratoires et les reports potentiels des revenus de 2024 à 2025 pour les ventes hors de l’UE et des États-Unis. Cela dit, au deuxième trimestre, les ventes ont dépassé les prévisions, et la direction s’attend à ce que les nouveaux produits et les taux de pénétration du vaccin contre le virus respiratoire syncytial rétablissent la croissance de la société en 2025. L’action de CRISPR Therapeutics a nui au rendement ce trimestre, dans le contexte de la vente massive qui s’est produite dans le segment de l’édition génomique. Nous croyons que le marché sous-estime l’importante occasion de revenus liée à la première thérapie d’édition génomique commercialisée, Casgevy, qui devrait commencer à générer des revenus au cours des six prochains mois.
Fonds innovation BMO ARK (ARKK)
Le Fonds a surpassé l’ensemble des indices boursiers mondiaux au cours du trimestre. Les titres qui ont le plus contribué au rendement du BMO ARK Fonds innovation, série FNB (ARKK) ont, notamment, été Tesla (TSLA) et Roku (ROKU), pour les raisons mentionnées ci-dessus. Les placements qui ont le plus nui au rendement ont été Coinbase (COIN) et CRISPR Therapeutics (CRSP), pour les raisons mentionnées ci-dessus également.
Avis juridiques
1 Selon l’indice S&P 500 et l’indice MSCI Monde.
2 Un point de base (pdb) est égal à 0,01 %, soit un centième de point de pourcentage.
3 Un type de récession qui touche différents secteurs de l’économie à des moments différents, plutôt que simultanément.
4 Les cinq plateformes d’innovation d’ARK sont l’intelligence artificielle, la robotique, le stockage d’énergie, le séquençage multiomique et la technologie de la chaîne de blocs.
5 Selon la règle Sahm, les premiers stades d’une récession sont signalés lorsque la moyenne mobile sur trois mois du taux de chômage aux États-Unis dépasse d’un demi-point de pourcentage ou plus le taux de chômage moyen mobile le plus bas sur trois mois au cours des 12 mois précédents. https://www.investopedia.com/what-is-the-sahm-rule-8637564
6 Groupe automobile WARD. Données en date de septembre 2024.
7 Indice de valeur des véhicules d’occasion de Manheim. Données en date de septembre 2024.
8 National Associate of Realtors. Données en date d’août 2024.
9 National Federation of Independent Business. Données en date de septembre 2024.
10 La masse monétaire M2 est une mesure de la masse monétaire américaine qui comprend la masse monétaire M1 (billets et pièces détenus par le public non bancaire, les dépôts accessibles par chèque et les chèques de voyage) plus les dépôts d’épargne (y compris les comptes de dépôt du marché monétaire), les petits dépôts à terme de moins de 100 000 $ et les actions de fonds d’investissement du marché monétaire de détail.
11 L’indice des prix à la consommation (IPC) mesure la variation moyenne au fil du temps des prix que les consommateurs paient pour un panier de biens et de services. La mesure est souvent utilisée pour évaluer l’inflation.
12 Les écarts de taux des obligations à rendement élevé représentent la différence entre les taux des obligations à rendement élevé (obligations de pacotille) et ceux des obligations de catégorie investissement plus sûres, ce qui reflète la demande des investisseurs qui exigent une prime de risque plus élevée.
13 Mesurée par l’écart entre les taux des obligations du Trésor à 10 ans et ceux des obligations du Trésor à 2 ans.
14 Une « inversion » signifie que le taux des obligations du Trésor à long terme est inférieur à celui des obligations du Trésor à court terme. L’écart de taux était de 159 points de base le 29 mars 2021 et de -108 points de base le 3 juillet 2023. Un point de base correspond à 1/100 d’un point de pourcentage, soit 0,01 %.
15 U.S. Bureau of Labor Statistics. Données en date d’août 2024.
16 Les indices boursiers mondiaux généraux correspondent à l’indice S&P 500 et à l’indice MSCI Monde.
17 La plateforme AIOps de PagerDuty utilise l’intelligence artificielle pour trier les incidents de TI, réduire le bruit des incidents et déterminer rapidement l’origine et la cause des interruptions, ce qui réduit les coûts associés aux périodes d’interruption prolongées.
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